Vous avez choisi “Commencer une nouvelle partie” ?

Qui n’a jamais rêvé d’entrer dans la peau du célèbre Sacha Ketchum pour aller à la rencontre de nombreuses créatures extraordinaires, les dresser et s’en lier d’amitié afin de devenir le meilleur dresseur ? Et bien aujourd’hui est votre jour de chance !

Notre nouvelle version de Pokémon version Covid 2020 vient de sortir, et vous êtes l’heureux élu pour le tester (le jeu, pas le Covid…).

Pour cela, nous allons tout d’abord étudier les pokémon (une petite piqure de rappel ne fait pas de mal). Ensuite nous vous recommanderons notre pokémon phare de cette saison. Et enfin après moulte expérience acquise grâce à vos différents voyages au sein du jeu, nous vous proposerons d’essayer de battre un pokémon légendaire (dont le nom est tapi pour plus de surprise).

Quelques rappels importants

Avant de vous rappeler les caractéristiques de nos pokémon, laissez nous vous expliquer comment nous avons fait pour les analyser :

Il existe plusieurs méthodes de structuration des données.

Nous comptabilisons plus de 700 pokémon. Ainsi, nous nous devons d’être méthodique et rigoureux dans l’organisation de nos données. La méthode de structuration la plus connue est celle issue d’Excel (.xsl ou .xlsx) mais celle étant le plus utilisée est .csv.

La .csv c’est quoi ? .csv est le diminutif de Comma Separated Values ou autrement dit pour les “non english” : valeurs séparées par virgule. Ici, les valeurs séprarées par les virgules sont les caractéristiques de chacun de nos pokémon.

Après avoir placé notre chemin pour atteindre notre base de données (au cas ou nous aurions modifier le chemin pour l’atteindre) et après avoir lu notre base de données grâce à read_csv en l’affectant au mot “projet”, nous obtenons le tableau suivant (qui est un exemple via un échantillon) :

Name Type 1 Type 2 HP Att Def Sp_Atk Sp_Def Speed Generation Legendary
1 Bulbasaur Grass Poison 45 49 49 65 65 45 1 FASLE
2 Ivysaur Grass Poison 60 62 63 80 80 60 1 FALSE

Nous pouvons donc obersver deux choses : les caractéristiques des pokémon se comptent au nombre de 12 et chacune est un type de variable différente.

Pour faciliter la suite de notre étude nous avons aussi transformer notre base de données en une matrice.

Il existe plusieurs types de variables.

En effet, il existe trois types de variables différentes :

  • Les numeric : autrement dit il s’agit de nombre ou de variable quantitative. Nous pouvons retrouver ce type de variable dans les colonnes , HP, Attack, Defense, Sp_Atk, Sp_Def, Speed et Generation.

  • Les character : qui se caractérisent par des variables qualitatives se composant de lettres. Sont des character les noms ainsi que les types (1 et 2).

  • Les logical : ce sont des variables booléenes c’est-à-dire ayant deux états prédéfinis (vrai ou faux). Ici, le caractère légendaire ou non d’un pokémon est une variable logical.

Les informations principales

Toutes ces données nous permettent d’avoir les informations principales concercant nos pokémon, chacun possède :

  • Un nom permettant de les différencier et de les identifier plus facilement. Ce qui leur confère un caractère unique et vecteur de personnalité. Tous nos pokémon possèdent un nom, ainsi les 721 pokémon de notre base de donnée ont un nom différent.

  • Un ou deux type en fonction de leur génération, représentant une caractéristique majeure. Ce qui leur permet d’avoir certains avantages ou désavantages face à d’autres pokémon. Il existe à l’heure actuelle 18 types et tout les pokémon possèdent au minimum un type.

    • Nous allons étudier la répartition des pokémon en fonction de leur type. Pour cela, nous avons installer le package tidyverse et mis en place avec la fonction library. Nous avons aussi mis en place les fonctions scales, stringr et ggthemes. Nous avons ensuite posé les conditions pour obtenir l’histogramme suivant pour étudier la répartition des pokémon en fonction de leur type 1 :
On peut donc voir grâce à notre histogramme que le type *eau* est le type 1 de pokémon le plus fréquent avec pas loin derrière le type *normal*. On distingue quatre type 1 de pokémon qui se distinguent du reste : *water*, *normal*, *grass* et *bug*. Ces quatres catégories sont plus nombreuses que les autres type 1. Nous remarquons aussi que le type *flying* est le plus rare.
Par rapport à l'histogramme du type 1, nous remarquons ici sur l'histogramme du type 2 que le type 2 *flying* est beaucoup plus présent que les autres types. A l'inverse de l'histogramme du type 1 ou il était le moins présent.
  • Les HP qui sont les points de vie : ils représentent le nombre de dégat qu’à subit un pokémon et si lors d’un combat ils atteignent 0 le pokémon est alors considéré comme KO et est mis hors jeu.
    • Il est intéressant d’étudier cette caractéristique puisque c’est elle qui définit la fin d’un combat entre pokémon. Ainsi, nous pouvons l’étudier grâce à la fonction summary(projet) qui nous donnera les infomations suivante sur chacune des caractéristiques numeric : le minimum, le maximum, le 1er quartile, la médiane, la moyenne et le troisième quartile. Concernant les variables character et logical cette fonction nous permet de connaître le nombre d’individu à l’interieur de chacune.
    • La moyenne des points de vie est donc de 68,8pt sachant que le minimum possible est 1 et le maximum est 255. De plus pour savoir si cette moyenne est élevée ou basse, étudions son premier et troisième quartile qui sont respectivement de 50pt et 80pt. Ainsi, nous comprenons aisément que la majorité de nos pokémon de ont des HP qui se situent entre 1 et 65pt (la médiane) donc les pokémons possédant un nombre de point de vie plus élevé que la moyenne sont étalés sur une plus grande tranche allant de 65 à 255 et représentant une portion de 190pt. Tandis que la tranche inférieur à la moyenne est, elle, de 65. Un nombre de point de vie bas est donc beaucoup plus courant qu’un élevé.
    • Nous pouvons aussi analyser la caractéristique des points de vie grâce à un histogramme. Nous obtenons cet histogramme avec la commande barplot dans laquelle il nous suffit de préciser ce que l’on veut analyser avec height (avec ici le projet et la caractéristique HP), le titre de notre graphique avec main, le titre des axes x et y avec xlab et ylab et enfin la taille du graphique et des axes avec cex.main et cex.names.
Grâce à cet histogramme nous ne faisons que confirmer nos dires. En effet, nous remarquons aisément que les pokémon se concentrent aux alentours de la moyenne et de la médiane, c'est-à-dire que la majorité des pokémon ont des points de vie allant de 50pt à 70pt.
  • Nous retrouvons ensuite les attaques et les défenses de chaque pokémon. Chaque pokémon possède des points d’attaque qui correpondent à la quantité de dégats qu’il inflige et des points de défenses qui représentent la quantité de dégats qu’il reçoit lors d’une attaque d’un adversaire.
    • Grâce à la fonction summary, nous savons que le minimum des points d’attaque et de défense sont tout deux de cinq. Interressons nous d’abord à l’attaque : son maximum est de 165pt et sa moyenne de 75,15pt. Nous pouvons notamment observer cela grâce au graphique suivant représentant la répartition des pokémons en fonction de leur nombre de points d’attaque, obtenu grâce à la formule barplot qui est exactement le même procédé que lors du diagramme précédent.
Nous constatons aussi ici que les pokémon sont souvent dans les mêmes tranches de points d'attaque. Les pokémon en possédant des plus grands sont souvent plus rare comme nous pouvons le voir à l'intérieur des tranches allant de 130pt à 160pt, il y a beaucoup moins d'individus que dans les tranches 60pt à 90pt.
  • Encore une fois via la fonction summary et grâce au tableau suivant nous pouvons observer plusieurs choses : le minimum des points de défense est de 5pt tandis que son maximum est de 230pt, la moyenne étant de 70,68pt.
Notre diagramme nous permet encore une fois de confirmer le fait que les pokémon sont en général dans les mêmes eaux. Il n'y a pas beaucoup de dispersion autour de la moyenne.
  • Une des caractéristiques des pokémon est qu’ils possèdent tous une attaque et une défense spéciale. Auparavant, ces spécialités était basé sur les types suivant : grass, fire, water, electrik, psychic, ice, dragon et dark. Cependant, cela ne tient plus uniquement de cela puisque tous les types de pokémon peuvent maintenant avoir une attaque et une défense spéciale.
    • Un peu perdu ? Nous, les développeurs de Pokémon Covid 2k20 savons bien que vous, petits noob, vous n’arrivez pas bien à comprendre la différence entre une attaque/défense physique (normale) et une attaque/défense spéciale. Alors laissez nous vous expliquer : une attaque physique se fait en fonction de la statistique de l’attaque physique de l’attaquant, et de la statistique de défense de l’attaqué. Et une attaque spéciale se fait en fonction de la statistique de l’attaque spéciale de l’attaquant, et de la statistique de défense spéciale de l’attaqué. Ainsi, comme vous avez pu le constater, rien de bien compliqué !
    • Encore une fois grâce à la fonction summary et au diagramme obtenu à partir de la commande barplot, nous pouvons obersver que le minimum et le maximum sont de 10pt et 154pt respectivement pour l’attaque spéciale. Et de 20pt et 230pt pour la défense spéciale. La moyenne est ici de 69pt pour les deux caractéristiques, la médiane est aussi identique pour les deux puisqu’elle est de 65pt.
Nous remarquons ici que l'histogramme possède deux répartitions d'individus une première dans la tranche 10pt à 76pt et une seconde dans la tranche de 76pt à 154pt.
  • Il peut être intéressant ici de comparer l’attaque physique et l’attaque spéciale tout comme la défense physique et la défense spéciale. Pour cela, analysons le graphique suivant combinant la courbe de l’attaque physique et la courbe de l’attaque spéciale
Nous pouvons ainsi constater que les fréquences des points d'attaque sont plutot identiques.
  • Une des caratéristiques principales concernant les pokémons est leur vitesse : en effet, la vitesse détermine quel pokémon commence le combat lorsque leurs attaques respectives sont de même priorité. C’est donc un élément majeur. Nous pouvons étudier cette caractéristique grace à summary et au graphique suivant :
Ainsi, nous remarquons aussi ici que le minimum est 5 tandis que le maxium est 160. La moyenne est de 65,7, et nous obersvons encore une fois que il n'y a pas de grande disparité entre les tranches de points.

Pour pouvoir plus simplement analyser les différentes variables numeric de nos pokémons, nous allons effectuer un graphique les regroupant. Pour cela nous avons dû installer le package psych et le mettre en place avec la commande library. Nous avons utiliser la fonction pairs.panels en choisissant notre matrice et un selectionnant uniquement les colonnes de 4 à 9 correspondant aux HP, Attack, Defense, Sp_Atk, Sp_Def et Speed.

Grâce à ce graphique, nous pouvons observer qu'il n'y a qu'une faible corrélation positive entre nos différentes variables. 
  • Nous avons ensuite plusieurs générations de pokémon, une génération représente une nouvelle sortie et/ou modification de pokémon. Nous comptons aujourd’hui huit générations. Nous allons donc observer la répartition des pokémon au sein des générations, pour cela nous avons construit un histogramme selon les mêmes caractéristiques que lorsque nous avions étudier les types, mais ici pour obtenir les générations.
Nous pouvons ainsi observer qu'il y a deux générations qui sortent du lot en ayant un plus grand nombre de pokémon, il s'agit de la génération 1 et 5. A contrario, la génération 6 est celle avec le moins de pokémon. 

Ce qui peut être intéressant pour nous aujourd’hui est de voir si les pokémon au sein de chaque génération ont les mêmes caractéristiques ou si plus les générations sont nouvelles plus les caractéristiques des pokémon sont meilleures. Pour cela nous allons regrouper les pokémon par génération et étudier leurs caractéristiques grâce à un graphique spider. Pour cela, on va installer le package fmsb et le mettre en place grâce à library.

  • Nous allons d’abord faire la comparaison des deux extrèmes en terme de population de pokémon avec la génération 5 (qui est la plus populaire) et la 6. Pour l’analyse de leurs caractéristiques, nous allons dans un premier temps assigner au mot analyse les données selectionnées c’est-à-dire que l’on va filtrer notre base de données pour ne retenir que les informations des pokémon issus des générations 5 et 6. Dans un second temps nous allons récuperer les valeurs maximales et minimales de chaques caractéristiques afin d’obtenir les vecteurs des maximums et minimums. C’est deux premières actions nous permettant de construire la table des statistiques à afficher en réunissant le vecteur des minimums, le vecteur des maximums et l’analyse. Une fois cette réunification faite nous pouvons alors poser les conditions de notre graphique spider. Nous obtenons ainsi :
Nous pouvons ainsi obersver que les caractéristiques des deux générations sont à peu près identiques. Nous pouvons donc comprendre que ce n'est pas en fonction de la popularité d'une génération que ses caractéristiques changent. Nous allons ainsi pousser l'analyse plus loin en comparant les deux générations avec le plus d'écart de date de sortie, nous allons donc comparer les génération 1 et 6.
En conclusion, avec ce deuxième graphique spider nous pouvons oberver que la date de sortie d'une génération n'altère en rien ses caractéristiques. Ainsi, nous pouvons conclure que toutes les générations ont à peu près les mêmes caractéristiques.
  • Nous pourrions penser que les caractéristiques que nous venons de voir sont les seules existantes ? Mais c’est faux, il en existe une dernière, et pas des moindres : les pokémon légendaires ou non. Késako un pokémon légendaire ? Et bien, un pokémon légendaire est un pokémon particulier qui à une rareté proportionnelle à sa puissance de combat. Son obtention se fait donc de deux manières différentes : en effectuant une quête spéciale ou lors d’un événement. Ils ont des caractéristiques assez spéciales. Pour cela analysons les caractéristiques des pokémon légendaires par rapport aux non légendaires grâce au graphique suivant :
On dénombre ici dans notre base de données 46 pokémon légendaires pour un total de 721 pokémon, soit un peu moins de 7% de nos pokémon sont légendaire, plutot rare non ? Légendaire même !
On constate aisément que les pokémon légendaires ont des caractéristiques beaucoup plus évoluée que les pokémon non légendaire. En effet, à tout les niveaux des caractéristiques, les pokémon légendaires sont largement plus élevés.

Vous avez choisi la bonne réponse !

Et oui, nous vous avons tellement bien expliqué la partie sur nos pokémon, alors forcément c’était une question réthorique. Prêt à choisir votre pokémon ? Aujourd’hui une fois n’est pas coutume, les règles changent : c’est nous qui choisissons votre pokémon à votre place (ou du moins, on vous le conseil fort). Notre choucou du moment est… Mewtwo.

Une surprise n’est-ce pas ? Pas tellement à vrai dire. En effet, il possède des caractéristiques incroyables par rapport à ses congénères. Vous ne nous croyez toujours pas ? Laissez nous vous montrer !

Tout d’abord des présentations s’imposent, pour cela nous avons extrait la ligne de Mewtwo grâce à une recherche via son nom :

Name Type 1 Type 2 HP Att Def Sp_Atk Sp_Def Speed Generation Legendary
150 Mewtwo Psych NA 106 110 90 130 90 130 1 TRUE

Comme nous pouvons le voir, Mewtwo est un pokémon de type psy et de première génération. Il est connu notamment grâce au fait que c’est un pokémon créer des mains de l’homme (la fameuse team rocket) à partir de l’ADN de Mew. Pour rappel, Mew possède les caractéristiques suivantes :

Name Type 1 Type 2 HP Att Def Sp_Atk Sp_Def Speed Generation Legendary
151 Mew Psych NA 100 100 100 100 100 100 1 FALSE

Nous pouvons ainsi constater que Mewtwo est une version plus “évoluée” que Mew. A part en terme de défense où Mew est meilleur.

Nous avons établit pour vous convaincre un joli graphique spider, permettant de voir à quel point les caractéristiques de notre chouchou sont les meilleures de sa catégorie. Pour cela nous avons réaliser exactement la même démarche que celle effectuée pour la comparaison des pokémons de différentes génération. Nous obtenons ainsi ces deux graphiques :

Vous pouvez donc constater que notre chouchou de cette saison est de loin le meilleur de sa catégorie. En effet, on constate que son niveau d'attaque spéciale est la plus haute. En outre, Mewtwo est soit au dessus soit au même niveau que la moyenne de ses congénères psy. 

Alors, vous aussi vous êtes subjugué maintenant non ? (en plus il a un style incroyable)

Vous pensiez que cette saison Pokémon serait de tout repos ?

Comme dans tout jeu vidéo qui se respecte, le boss de fin est un passage obligatoire. Vous pensiez y échapper ? Oh c’est mignon. Mais non. Dans notre nouvelle édition Pokémon Covid 2020, notre boss de fin est… LUGIA. Vous ne vous souvenez pas de qui est Lugia ? Laissez nous vous rafraichir la mémoire :

Tout d’abord nous allons commencer par la base des bases, avec une commande nous permetant d’extraire une ligne de notre base de données de pokémon nous pouvons vous présenter les caractéristiques de Lugia.

Name Type 1 Type 2 HP Att Def Sp_Atk Sp_Def Speed Generation Legendary
249 Lugia Psychic Flying 106 90 130 90 154 110 2 TRUE

Ca y est vous vous souvenez de lui ? Ce pokémon légendaire, emblème de plusieurs versions de Pokémon (version Argent, Argent SoulSilver, XD : le Souffle des ténèbres) à marqué les esprits de beaucoup. Il parait à première vue impossible à battre, cependant il existe bien certains pokémon capable de le battre. Ainsi, pour vaincre notre boss de fin il serait bien trop simple de s’aider d’un pokémon légendaire. C’est pourquoi, aujourd’hui nous allons vous aider dans le choix de votre pokémon afin de battre Lugia.

Tout d’abord Lugia est donc un pokémon légendaire de type psy et vol. Ces combinaisons de type de pokémon possède des faiblesses face aux types roche, tenèbre et spectre puisque pokémon fonctionne de la sorte : chaque type de pokémon possède des faiblesses face à certains autres types de pokémon, lors de l’attaque d’un pokémon A sur un pokémon B si le pokémon B est sensible au type du pokémon A, alors la puissance de l’attaque du pokémon A sera multiplié par la sensibilité (entre 0 et 2) du pokémon B envers le pokémon A. Ainsi, nous devons concentrer notre recherche de champion au sein des catégories roche, spectre et tenèbre puique Lugia est sensible x2 à ces catégories, ce qui multiplierait par 2 la puissance d’attaque du pokémon choisit. Nous allons donc extraire les pokémon possédant ces types de notre base de données.

Name Type 1 Type 2 HP Att Def Sp_Atk Sp_Def Speed Generation Legendary
248 Tyranitar Rock Dark 100 134 110 95 100 61 2 FALSE
302 Sableye Dark Ghost 50 75 75 65 65 50 3 FALSE
442 Spiritomb Ghost Dark 50 92 108 92 108 35 4 FALSE
Nous constatons ainsi que Tyranitar est le plus fort des trois. De plus, Tyranitar est de la même génération que Lugia, c'est donc bien tyranitar que nous devons choisir. Ainsi, nous vous recommandons Tyranitar pour esperer vaincre Lugia. De par la faiblesse de Lugia face à la combinaisons de type de Tyranitar, les attaques de Tyranitar seront multipliées par 4 (x2x2). 

Alors prêt à battre Lugia ?

Webographie

Type de pokémon : http://strategy5g.e-monsite.com/pages/content/ma-premiere-page/les-17-types-de-pokemons.html#:~:text=Les%2017%20Types%20de%20pok%C3%A9mons%201%20Normal.%20Description,et%20Glace%20plut%C3%B4t%20utile.%20…%20Plus%20d%27articles…%20

HP : https://www.explic.com/loisirs/que-veut-dire-hp-sur-les-cartes-pokemon/

Attaque spéciale vs. Attaque normale : https://www.jeuxvideo.com/forums/42-8906-46322084-1-0-1-0-difference-attaque-attaque-speciale.htm

Lugia : https://www.pokepedia.fr/Lugia